Mariage – ma robe de mariée & les costumes du marié

Ça y est, je commence à écrire les articles sur le wedding, il y en a déjà eu plusieurs : Ma demande en mariage, la demande des témoins + idées cadeaux, mes faire-parts ou encore les conseils pour s’habiller pour un mariage et ce n’est pas fini puisqu’il va y en avoir d’autres dans les prochaines semaines : la décoration, les prestataires, l’organisation, les cadeaux d’invités, mon ressenti, les erreurs à ne pas commettre… 

Bref, aujourd’hui, je vous parle de ma robe de mariée ainsi que des costumes de Théo.

Roulements de tambour….

Ah bah non, vous l’avez déjà vu ahaha.

Ma robe est une robe que j’ai imaginé, dessinée avec Camille Marguet et sur mesure. Ça c’est posé.

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LE TOUT DÉBUT – ESSAYAGE

Revenons à la toute base. En 2019, avant que je ne rencontre Camille Marguet, lors de mes premiers essayages qui se sont… très très mal passé. 

J’ai fais de nombreux essayages dans diverses boutiques de robes de mariées dont je tairais le nom où la conseillère n’était pas sympathique, où les robes étaient en taille 34 (je fais un 40) et que l’on me disait de « forcer », « rentrer le ventre » et qui ne prenait pas en compte ma morphologie. C’était affreux. C’est normalement le jour ou tu te projettes, et tu te sens jolie. Moi c’était tout l’inverse.

Ça a vraiment été une période difficile parce que je n’arrivais pas du tout à trouver quelque chose qui me plaisait de près ou de loin. Un peu le rêve de petite fille qui s’effritait.

Si je vous raconte ce mini épisode nul, c’est parce que c’est TELLEMENT important de se sentir bien, c’est une sacré aventure et il faut qu’elle se passe dans la confiance avec les prestataires. Si un doute, on change de prestataire. Si on nous force, on change aussi. Ne pré-payez rien dans la précipitation des essayages. Laissez vous du temps, pour y repenser à froid et pas sous l’émotion. Ne foncez pas vers la première robe « moins pire ». Vous méritez le meilleur, quelques soient vos goûts et votre morpho.
Vous avez le droit de prendre votre temps.

Parenthèse terminée mais nécéssaire 🙂

LA RENCONTRE avec Camille Marguet

Puis j’ai rencontré Camille Marguet, qui est la meilleure amie d’une copine. Et coup de coeur. Une nana à l’écoute, compréhensive, douce, gentille, généreuse, mais surtout archi talentueuse… Et la magie à opéré !

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Donc voilà, j’explique à Camille mes complexes, je lui montre ce que j’aime aussi. Et on commence à rêver toutes les deux. Oui, Camille aussi car elle est passionnée. Puis on se mariait aussi la même année. Puis on commence à dessiner. On retouche, on change… Un bonheur ! 

Alors voilà, je voulais de jolies volants, un décolleté mais pas trop plongeant. Oui, faisant un D, je ne peux me risquer au décolleté jusqu’au nombril, au risque qu’un boobs se fasse la malle en dansant ! ahaha.

Puis une fente, pour montrer mes « jolies jambes et les chevilles fines » en reprenant les termes de Camille. 

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Les essayages

Puis vient l’étape de la toile : c’est quand le patron est dessiné dans une matière en coton, pas du tout la matière définitive, mais ça permet de réajuster la toile en fonction du corps. Étant quand même complexée par certaines choses, j’ai eu très peur et j’ai voulu annuler. Là encore, Camille a fait preuve d’une patience extrême, a eu des mots réconfortants et je ne la remercierai jamais assez pour ça.

J’enfile la toile, et déjà la magie opère immédiatement.
Mais mince un petit détail me chagrine, les volants des manches. Ils étaient un peu courts, pas assez « volantés » et pas assez gros. (cf voir la photo dans le miroir) Aucun souci, on a ré-ajusté car l’avantage du sur-mesure c’est que l’on fait comme nous avons envie : quel plaisir ! 

Là se passe une bonne vingtaine de minutes où Camille Marguet et sa modéliste sont autour de moi à reprendre toutes les mesures qui soient : entre l’aisselle et la hanche, entre le téton et le dessous du sein, le contour de l’aisselle, la profondeur du décolleté… tout y passe ! Il faut que cette robe soit ajustée à la perfection ! 

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Pour cette étape là, il faut avoir les chaussures qui iront avec la robe le jour du Mariage. Comme ça, on se met aussi d’accord pour la longueur de la traine, s’il y a. D’ailleurs, j’ai écrit un article sur comment choisir ses chaussures pour un mariage ! 🙂

Perso, j’ai trouvé mon bonheur chez Flor de Asoka. C’est un modèle que tu peux personnaliser (hauteur du talon par exemple) et elles étaient aussi canon que confortables (sur la piste jusqu’à 7h du matin et sans ampoules ! ahaha)

Au niveau des boucles d’oreille, je les ai shoppé ma paire sur le site Revolve (pour une vingtaine d’euros), Elles sont dorées et absolument pas lourdes avec un mouvement qui rappelle mes volants de la robe (et oui ma p’tite dame, je vous disais : LES DÉ-TAILS !)

Ma couronne vient de chez Douce Alchimie, une petite créatrice que ma wedding planner Elodie m’a conseillé ! Tout ce que j’aimais et ça reprenait le thème des pierres du mariage 🙂

Puis vient enfin l’étape de l’essayage final. Et alors là… magique. De mon côté c’était 3 semaines avant et seule car je voulais garder la surprise à mes amis et famille, en plus de Théo.

Nous étions Camille et moi dans un état d’excitation pas possible. Elle m’enfile ma robe, je ferme les yeux, elle me ramène devant le miroir & là… Je n’en reviens pas. Ce que j’avais imaginé dans mes rêves est réel : la robe que je souhaitais qui me va comme un gant. j’ai envie de pleurer mais je suis trop stressée et fatiguée aussi. À ce moment le mariage est dans 3 semaines et il reste une montagne de choses à faire…

Quelques derniers ajustements, et je la récupère 1 semaine avant le wedding. 

Je voulais vous raconter comment Théo a trouvé ma robe mais finalement, je préfère le laisser écrire son ressenti. Voici donc les premiers mots de mon mari sur le blog *omg* 

« Je ne savais pas du tout à quoi aller ressembler sa robe, mais dès que je l’ai vue marcher vers moi j’ai su en une seconde que c’était exactement comme ça que je l’avais imaginé. Sa robe la mettait tellement en valeur, et je pense que c’était son ressenti aussi, tellement elle rayonnait comme je l’avais rarement vue. Elle était absolument sublime ! « 

*I’m crying*

Ce jour-là, j’ai eu aussi l’aide d’une super nana qui en veut : Frédérique ! Elle m’a maquillé comme je le souhaitais, un peu mais pas trop. J’étais contre l’idée d’une full couvrance type maquillage libanais. C’est magnifique mais ça n’aurait pas été moi. Et elle s’est aussi occupée de mes cheveux pour réaliser de jolies boucles. Elle est à l’écoute, très sympathique et se déplace partout !

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Quant à Théo, il a réalisé ses deux costumes sur mesure chez Samson. Dans l’univers des costumes, ni lui, ni moi, ne connaissions quelque chose. Et lors de notre visite au ANDY FESTIVAL qui est un festival tendance du mariage à Paris, ils étaient là. Nous avons bien sympathisé. Le créateur est génial et la RP très gentille. Quelques semaines après on était dans leur boutique à Paris (ils en ont plusieurs en France). Et je ne pense pas me tromper si je vous disais que c’est les premiers sur le sur-mesure à des prix défiants toute concurrence !

Qui dit costume sur-mesure, dit qu’il faut tout choisir : du fil de couture, à la forme du col, du revers de manche, aux boutons, aux tissus intérieur à la forme et l’inclinaison de la poche… C’est un travail titanesque mais aidé par les stylistes de la boutique qui savent mettre à l’aise.

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Théo s’est dirigé vers un costume rose pour la cérémonie civile et le brunch du lendemain de mariage et pour un smoking noir pour le mariage. Il était si beau, si classe. Il a fait un carton plein. Et surtout, tout lui allait à merveille ! Les costumes, c’est pas évident, tu peux vite ressembler à un pingouin perdu sur une banquise… Et c’est là que le sur-mesure entre en jeu : les costumes lui allaient parfaitement. 

Je vous laisse en juger par vous-même ! 🙂

N’hésitez pas si vous avez la moindre question !

Plein de bisous ! Hâte de vous raconter la suite des aventures de ce Mariage incroyable !

Photographes : Julien Navarre et Chris