Mon parcours scolaire et professionnel

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EDIT : Vous êtes nombreuses à me demander ce que je fais dans la vie, ce que j’ai fais, mon parcours, du coup je vous le reposte ici pendant quelques jours 🙂

Parce que vous êtes très nombreuses à me demander régulièrement quelles ont été mes études, quel métier j’exerce, ce que je fais dans la vie ou alors même comment avoir le « même métier » que moi… Alors, si j’en dévoilais un peu plus ce soir ?

Mon parcours scolaire :

Un petit retour en arrière s’impose. Tadaaam, nous voilà en 2009/2010 quand j’ai eu mon bac ES dans un super lycée à Saint-Germain en Laye (78). J’ai redoublé une fois dans ma vie, ce fut pour le bac (bravo l’artiste ! Je vous parle d’ailleurs du manque de confiance en soi dans cet article humeur là).

Je savais depuis la première que je voulais faire de l’art. Mais quel art ? Ok je dessinais régulièrement mais je n’avais pas un niveau de fou furieux. Oui, j’adorais les activités manuelles mais pareil, j’étais une touche à tout sans vraiment avoir un domaine de prédilection. J’ai « tenté » la sculpture sur terre cuite (ma mère s’en souvient encore…), puis j’ai fait de la création avec de la pate fimo. C’était mignon… Puis après des heures et des heures de recherches, je suis tombée sur la Prépa d’Art appliqués (le vrai nom c’est Mise À Niveau d’Arts Appliqués – MANAA). Let’s go, j’allais faire ça !

Je suis acceptée à L.I.S.A.A (L’institut supérieur des arts appliqués) option photographie et graphisme. 

On me prévient à l’avance que ça allait être compliqué : le niveau, les heures de cours, surtout la charge de travail et la compétition. Je me souviens le jour de la rentrée, la directrice nous avais glissé « profitez bien de votre dernier week end de vie sociale, après ce sera fini » puis avait dit « Aujourd’hui vous êtes 36, dans 6 mois, vous serez 15, beaucoup d’entre vous ne tiendront pas ». À votre avis, ai-je tenu ou pas ? 

Le premier semestre, j’étais classée 11 ème sur 200, puis le second semestre 90ème sur 200. 

Peu à peu j’ai baissé les bras. J’ai arrêté ma prépa fin avril. 

Il faut dire que c’était franchement quasiment impossible pour moi. Je vivais encore chez ma mère dans le 78, j’avais 1h30 de trajet le matin et 1h30 le soir, sans compter les retards, les grèves etc… Du coup je me levais à 5h45 le matin pour être en cours à 8h, toute la journée de cours, j’étais la seule à ne pas manger avec tous les autres au resto le midi car par manque d’argent je me préparais mes plats à la maison, donc pas facile de s’intégrer, le soir j’arrivais exténuée à 20h30, et j’enchaînais avec au moins 4h de travail créatif à rendre pour le lendemain, sans parler des coûts exorbitants des fournitures (nouvel ordinateur, peintures, crayons, feuilles etc…). Évidemment, je devais me trimballer tous les jours avec une pochette géante contenant tout mon matériel et mon ordinateur.

Pourtant, je savais que je voulais faire de la communication visuelle, je voulais être designer graphique. Mais je n’en pouvais plus de cette école. J’ai énormément appris mais je n’aimais pas leur manière de faire. Je suis partie.

Puis j’ai passé un entretien, dans une autre école, mieux réputée, dans le 15 ème qui s’appelle Intuit Lab Paris. J’ai tenté le concours pour intégrer la deuxième année. Sauf que la condition nécessaire était de valider ma prépa de LISAA en fin d’année, mêne si j’étais reçue au concours d’Intuit Lab. Du coup, j’ai « omis » de préciser que j’avais laissé tomber LISAA. De toute façon je ne pouvais pas recommencer une prépa car malheureusement, j’avais un prêt étudiant (que dis je ? J’AI un prêt étudiant, que je rembourse depuis un an et demi et que je finirais de rembourser en 2019 yihou !) et une deuxième prepa à 7 500 euros, ce n’était pas possible.

La chance m’a sourit puisque j’ai été prise en deuxième année. Et coup de bol, ils ont oublié de me demander mon diplôme de prépa. S’en est suivit 4 ans de pur plaisir, de stress, de créativité, d’échange et de kiff total. Je ne m’étais pas trompée. C’est bien ma voie, j’aime la création graphique, j’aime designer, j’aime recevoir des briefs, j’aime créer. Un bac+ 5 en direction artistique et en communication visuelle plus tard, je suis officiellement depuis juin dernier une Designer graphique ! Et ouais, ça en jette hein ? Fini les études, place au travail !

Mon parcours pro

Je vous épargne tous les jobs étudiants que j’ai pu faire (Genre caissière de supermarché, 4 ans de baby sitting et j’en passe). À 18 ans, avec mon amoureux (qui était dj à ses heures perdues à l’époque), nous nous sommes associés et nous sommes lancés dans l’organisation de soirées. Nous avons crée un concept tout nouveau de befores (soirées sans alcool pour mineurs en boite de nuit de 18h à 23h) qui ont plutôt bien marché et qui nous a permis de découvrir le monde la nuit, de devoir gérer des équipes, de trouver des concepts de soirée, démarcher, négocier… Et surtout le goût de la prise de risque. Nous avons fait ça pendant 3 ans, soit en gros une trentaine de soirées. Je dois avouer qu’en plus du lycée et de la prépa, ça m’a permis d’avoir une sacré experience, sachant qu’en plus c’était moi qui était en charge de tout l’univers graphique (flyers, affiches, site internet etc…).

À 22 ans, je lançais, toujours avec l’amoureux dans les parages, une marque éphémère de short customisés. Ce fut 6 mois de pure marrade, avec toujours cet esprit de création, aussi bien au niveau des modèles de shorts que pour la communication (nom de la marque, design, site internet, stratégie…).

Puis, en 4ème année, je suis partie faire un semestre au Mexique. Ce fut une des meilleurs expériences de ma vie, que je vous ai déjà raconté ICI (partie 1) et ICI (partie 2)

Ensuite, lors de ma 5 ème année, j’ai pu faire une année en contrat de professionnalisation (alternance : 3 semaine en agence de pub/com et une semaine à l’école). Et là aussi c’était un vrai vrai kiff ! J’avais le statut de Directrice Artistique Junior (bon, en gros : graphiste, mais avec la partie prise de décision/création et pas juste application).

Je terminais en juillet 2015. Mon Instagram prenait beaucoup de place dans ma vie et j’avais de jolies opportunités grâce à lui qui m’ont fait dire que je pouvais peut être lancer ce blog. Je devais chercher un travail en septembre, et les places sont très très rares. Du coup, je me suis dit qu’au lieu de faire un book / CV comme tout le monde, ça pourrait être sympa de mélanger mon métier avec ma passion pour la mode, et que créer un blog en y mettant toutes mes compétences dans ces deux domaines me permettrait d’apporter une valeur ajoutée à mes futurs recruteurs. En plus, j’ai toujours aimé entreprendre et prendre des risques, alors le projet m’excitait énormément ! J’avais droit à quelques mois de chômage grace à mon année en alternance. C’était maintenant ou jamais. Puis mi-octobre 2015 le blog était lancé. 

Ce blog a aujourd’hui bientôt 8 mois. C’est un babyblog mais vous êtes là, et toujours de plus en plus nombreux ! Et je tiens à vous remercier ! D’ailleurs, je vous remercie tous une fois de plus !

Alors aujourd’hui qu’est ce que je fais ?

Je suis graphiste en freelance et je suis blogueuse. Alors attention, je vous arrête de suite si vous pensez une seule seconde que blogueur n’est pas un métier, vous vous trompez. En effet, pour la plupart c’est un passe temps, qui prends certes beaucoup de temps, mais simplement un passe temps en dehors de leur taff.

De mon côté, je me donne à 100% pour que ce soit mon métier. Grace à lui, j’en vivotte (je ne peux pas dire que j’en vis totalement, sans la fin de mon chômage et mes quelques projets graphiques à côté, je serai ric rac à la moitié du mois), mais ce blog n’a que 8 mois, et j’espère avoir de plus en plus d’opportunités. Mais pour le moment, clairement, je ne peux pas me plaindre. Ce qui devait être un CV est devenu une véritable passion débordante, alors tant que je continue à prendre autant de plaisir à bosser autant dessus, je compte bien continuer !

C’est d’ailleurs toujours dans cette énergie de création que j’ai lancé ma chaîne Youtube il y a bientôt 3 mois (et oui déjà) !

Pour ce qui est du futur, j’espère sincèrement pouvoir continuer de vivre de mon blog, tout en alliant mon métier de Directrice Artistique à côté (que ce soit via des collaborations graphiques avec des marques, en travaillant pour une agence ou en créant ma structure à moi !), mais ce qui est sûr, c’est que si tout devait s’arrêter demain, j’ai toujours mon métier que j’aime qui m’attend (non sans grande tristesse de tous vous quitter, vous qui m’apportez tant de soutien !)

Voilà, vous savez maintenant ce que j’ai fait niveau études, et ce que je fais actuellement !

Et vous ? Êtes vous à l’école ? Que faites-vous comme études ? Quel est votre job ?

1 commentaire = 1 Megan heureuse ! 🙂

JE VOUS AIME !!

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292 Commentaires

  1. 7 juin 2016 / 10 h 36 min

    Quand je regarde autour de moi, on ne faut que nous parler des jeunes sans ambitions, sans volonté, sans motivation. Je suis contente de rencontrer chaque fois plus de personnes qui, par leur passion et leur grand coeur, vont changer l’image du pays. Je suis encore en Étude, mais avec mon amoureux nous avons déjà des projets de boîte. En tout cas merci pour l’interlude intéressante sur ton chemin. Et merci aussi pour le concours Étam- auquel je participe avec joie et amour en croisant les doigts.
    Bisous.

    Floriane alias plumesandclouds.

  2. GENIN Amandine
    7 juin 2016 / 10 h 56 min

    J’ai adoré cet article, et surtout merci pour le concours Etam j’y participe bien évidemment.

  3. Laury
    7 juin 2016 / 11 h 17 min

    Quel beau parcours tu as fais ma belle Megan. Tu es l’exemple numéro 1 que tout le monde devrait suivre : ne jamais lâcher son envie de faire des études dans tel ou tel domaine. Tu as eu bien de la chance qu’ils oublient de te demander ton diplôme. Je sais à quel point une MANAA c’est dur, j’ai une de mes amies qui en a fait une l’an dernier, et je ne l’ai jamais vu aussi fatigué. Elle commençait des dizaines de projets en même temps, se coucher à pas d’heure pour rendre un projet pour le lendemain (en sachant qu’ils le demandaient le jour même ces abrutis), plus d’une fois elle a voulu arrêter mais elle a tenu, je ne sais pas comment mais elle était en bonne galère pendant un an, ça c’est certain. Maintenant elle fait un BTS graphisme et en est très contente. Elle vient d’ailleurs d’avoir la confirmation pour son passage en deuxième année !
    Bref, tout ça pour dire que j’apprécie le fait que tu ais eu les « couilles » d’arrêter quelque chose qui ne te correspondait pas, car ce n’est pas évident, on a toujours cette question qui nous trotte la tête : « Mais je fais quoi maintenant ? ». C’est la grande angoisse des jeunes et pour être honnête ça me suit depuis des années !

    Si je devais te raconter un peu mon parcours à moi, ça risque d’être un peu long, mais allons-y ! (en raccourcissant un peu, si j’y arrive, et désolé si ça ne t’intéresse pas haha) : Du plus loin que je me souviennes je voulais faire de la photo. Déjà quand j’avais 10 ans et qu’on me demandait quels étaient mes projets quand je serais adulte, je disais directement : PHOTOGRAPHE. Là vient l’ultime sacrilège en troisième, quand tu as 14 ans et qu’on t’emmerde royalement à savoir quel sera ton métier plus tard, comme si à 14 ans tu avais une idée, les enfants ça changent d’avis tous les 4 matins. Mais, je revendiquais toujours que je voulais être photographe. J’ai donc fait des vœux pour mais comme je n’aimais pas l’école mon dossier n’était pas des meilleurs, donc j’ai forcément eu 3 magnifique refus qui me sont tombés sous le nez.

    Je vais essayer de raccourcir à partir de là : il fallait bien que je trouve quelque chose à faire, parce qu’on ne peut pas arrêter l’école en 3ème, c’est impossible. Mes profs me disaient bien que je n’avais absolument pas le niveau pour partir en générale, donc ils m’ont forcés la main avec le professionnel. Pour être sûr que je trouve du travail plus tard, mes parents m’ont mis en commerce. J’ai détesté ça, je ne travaillais pas, j’étais dans une école privé où il n’y avait que des cassos, mes notes c’était une catastrophe, bref, je t’épargne les détails. Un jour ma prof m’a rendu une note qui était un très beau 4. Quand elle m’a rendu ma copie elle m’a dit « Laury, si tu continue comme ça, tu vas redoublé ». Déjà que je n’aimais pas les cours où j’étais, il était hors de question que mes 3 années se termine en 4 ! Ça a était l’élément déclencheur, je me suis « tué au travail ». Je voulais prouver à tout le monde que je pouvais être doué si je le voulais, et je voulais enlever cet espèce de regard qui disait « mais elle y arrivera jamais », j’avais la rage, complètement. Dernier devoir que ma prof me rend BIM un 15 ! Et ça était comme ça jusqu’en terminale, jusqu’à mon bac où je l’ai obtenu avec une mention bien. Une très belle revanche, tu ne trouve pas ? haha

    Pareil, après le bac, vient les études supérieure ! Certes, j’avais réussi mes années lycée mais je ne me voyais pas faire du commerce toute ma vie. Malgré ça, il fallait bien que je continue donc j’ai fais des demandes pour des BTS MUC (Management des Unités Commerciale), c’est la continuité du commerce, je ne me suis juste pas pris la tête, je me suis dis que je verrais pour faire quelque chose que j’aime pour plus tard. Sauf que, gros bémol, j’ai étais refusé partout ! Avec un bac mention bien, c’est pas scandaleux stp ??? J’ai réussi à trouvé une école qu’au mois de septembre parce que forcément, tous les établissement fermés l’été. Ma rentrée était donc pour octobre 2014 (j’ai eu une chance de malade). C’était une école privé (encore, mes pauvres parents…) parce que forcément, dès que tu fais un chèque les écoles t’acceptes hein. Cette école était à Bordeaux, et sincèrement j’y étais vraiment, vraiment bien. Les profs étaient super, le campus c’était le paradis tellement c’était beau, tout était génial, j’étais l’une des trois meilleures de ma classe, je faisais mes stages à Sephora, et jamais de ma vie j’aurais cru que j’aurais aimé travaillé, j’étais vraiment bien partout ! Sauf que, dès qu’il se passe un truc bien, il faut forcément que tu te casses la gueule n’est-ce pas ? La plus grosse déception pour moi a été quand mes parents m’ont dit qu’ils ne pourraient pas assumé de financé ma deuxième année. J’étais vraiment au fond du trou, mais je ne pouvais pas dire que je ne voulais pas partir de cette école alors qu’ils financent tout depuis que je suis en seconde. Du coup, je suis allé dans une école pas loin de Mimizan, et là j’avais l’impression d’être retourné au collège. Je n’ai pas du tout aimé, c’était horrible. L’établissement, les profs, je venais de la ville du coup ils me méprisaient à un point inimaginable, j’avais énormément de mal à m’intégrer, le plus frustrant à été que je n’arrivais pas a avoir les notes que j’avais quand j’étais à Bordeaux. Dans cette école ils avaient un niveau d’exigences supérieur, ce que je ne comprenais pas vu qu’avant j’étais dans le privé… De 13,5 de moyenne, je suis tombé à 10,5, le choc pour moi tu vois mdrr. J’étais même plus motivé. Je viens donc de passé mon BTS le mois dernier et je ne sais même pas si je vais l’avoir (c’est pour te dire)

    ET, en cours d’année il faut bien pensé encore à ce que tu vas faire : licence ? Boulot ? Je ne me voyais toujours pas partir dans le monde du travail et je voulais un BAC+3. Donc se serait licence. Licence e-commerce, marketing digitale pour être précise. J’ai toujours aimé l’utilisation d’internet et ce que tu pouvais créer de toi-même. Sauf que, n’étant pas motivé, je ne me suis pas renseigné avant, et ils demandent encore beaucoup d’exigences pour intégrer cette licence (création d’un site internet, un cv hors du commun…) bref, tout pour te démarquer et pour prouver que tu sais te servir d’internet. Ma mère, désespéré, m’a demandé pouvoir j’insistais à vouloir faire une licence alors que ça se voyait que j’étais déjà au bout du rouleau elle m’a dit, et je cite « Tu n’as que 19 ans, tu es jeune, tu devrais prendre le temps de savoir ce que tu veux faire, et partir comme tu me l’as si souvent demandé ». A part le fait que je voulais toujours faire de la photo, je voulais voyager, et parler anglais. Surtout, parler anglais. Je suis du genre à être aventurière et vouloir bouger partout donc quand ma mère m’a dit ça, je me suis demandé si elle était sérieuse, parce qu’il ne faut pas me le dire deux fois haha. On s’est donc dit, avec mes parents, que je prennes un an pour réfléchir, créer le blog qui me permettrait d’entrer dans cette licence pour la rentrée prochaine et voilà ! Toutefois, je ne peux rien prévoir pour l’instant avant d’avoir les résultats de mon BTS. Le plan est donc le suivant : Cet été, je me consacre à mon permis, de Octobre à Décembre je travaille (à mon stage si je peux) pour ne pas rester sans rien faire, et en Janvier direction Los Angeles pour 6 mois. Si tout vas bien évidemment ! Mais si je pouvais faire ça, se serait le pieds je te jure. Je me vois déjà arpentant les rues avec mon appareil photo autour du cou, mais ça encore se serait vraiment beau !

    Voilà ma petite Megan, un petit récit de mon « parcours » jusqu’à présent, ça te permettra d’en savoir un peu plus sur moi en même temps, haha.
    Je t’embrasse très fort et te dit à bientôt
    Laury

  4. Louise Alberty
    7 juin 2016 / 11 h 42 min

    Super article, intéressant surtout en cette fin d’année scolaire ou on se demande ce que on va faire apres

  5. Lilou
    7 juin 2016 / 11 h 45 min

    Sacré parcours ! Article super intéressant te concernant ! Garde ta bonne humeur ça fait du bien ! #teamsnapchat #concoursetam

  6. 7 juin 2016 / 11 h 58 min

    J’adore!
    Tu en as fait des choses pourtant tu es toute jeune!

    Reste comme t’es! Tu nous adores peut-être mais c’est nous qui te suivons alors imagines comment on te kiff!
    En plus tu fais gagner de trop beaux cadeaux (j’adore ton concours Etam maquillage, j’en suis folle) !

    Continues comme ça!

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