Hello mes petits, comment allez vous ? Prêt à attaquer demain ?
Je vais vous parler d’un sujet plus qu’important pour moi : la confiance en soi. On commence une toute nouvelle année, pleins de résolutions qu’on ne tiendra pas pour la plupart, mais on est aussi en hiver, il fait froid (quoi que…), il fait nuit les 2/3 de la journée, les vacances d’été sont dans trèèèèèès longtemps, rien de pire pour se miner le moral.
Or, à mon sens, le manque de confiance en soi est l’un des plus grands freins au bonheur et à l’épanouissement personnel ! Voici donc un peu de mon histoire personnelle, et quelques conseils sur la confiance en soi qui, je l’espère, pourront vous être utiles !
Le manque de confiance en soi est un véritable calvaire ! Plus on grandit et pire c’est. J’en ai fait l’amère expérience. Et le problème c’est que ça touche toutes les situations, toutes les périodes de la vie.
Attention : je ne vous parle pas de confiance en soi liée au physique (je vous en parlerai dans un prochain article sur le fait de s’accepter physiquement), je vous parle de la confiance en soi psychologique, qui nous bloque au quotidien sur tout.
Dès le plus jeune âge, je manquais de confiance en moi. Ça ne se voyait pourtant pas : petite fille vive, enjouée, très très (trop) bavarde, d’excellentes notes. Je pouvais pleurer car j’avais eu un 13/20, ou bien même si la maitresse me reprenait sur quelque chose. Il m’arrivait de penser que j’allais redoubler parce qu’oh mon dieu, j’avais eu un 15/20 et pas un 18. Oui oui, pour moi le redoublement était la pire chose qu’il puisse arriver. Ce n’était d’ailleurs même pas envisageable.
Plutôt très sociable, avec mon cercle de copains, tout s’écroulait quand je devais m’exprimer en public, lorsque par exemple la maitresse me demandait de venir réciter/faire quelque chose seule au tableau, je perdais mes moyens. Et croyez moi, ça ne s’est pas arrangé avec le temps ! Le collège s’est poursuivi sans trop de souci, de bonnes appréciations, de bonnes notes, un brevet avec mention. Mais toujours ce manque cruel de confiance en moi qui me poussait à croire que je n’arriverai jamais à avoir le brevet. Je voyais l’échec partout sans même y être confrontée. C’est quand même fou, à quel point le manque de confiance en soi peut nous pourrir la vie !
Puis tout s’est cassé la gueule au lycée, en terminale ES, quand, attention, j’ai loupé mon bac.
Moi qui pensait que le redoublement était la pire chose qui puisse arriver au monde. L’échec est enfin arrivé. J’ai changé de lycée, puis j’ai tenté de croire en moi, en vain bien évidemment. J’étais tellement stressée à l’idée d’échouer une deuxième fois mon bac que j’en arrivais à me créer des migraines insurmontables (qui m’ont valu des examens afin de savoir si je n’avais pas un souci, puis finalement un traitement quotidien pour fluidifier le sang et éviter d’avoir des crises migraineuses qui me clouaient au lit pendant deux jours). Si ça, ce n’est pas le parfait exemple d’un manque de confiance en soi… (depuis mon obtention au bac, je n’ai plus eu besoin de ce traitement, et je dois avoir 3 crises migraineuses/an et encore…)
Je l’ai eu ce fichu bac. Mais j’ai longtemps pensé que je lavais volé, pourtant je n’ai pas triché, mais je l’ai eu à 10,00. Je me suis longtemps demandé si on me l’avait pas donné par pitié et je pouvais en venir à culpabiliser de l’avoir eu, c’est dire. Oui, j’ai un sacré souci… À l’heure à laquelle je vous parle, j’ai réussi à être diplômée d’un bac +5 en juin dernier. Moi qui me sentait plus nulle que quiconque…
Voilà pour le côté professionnel, mais le manque de confiance ne s’arrête pas là. Je suis le genre de fille qui va pouvoir entendre 10 fois un compliment, mais dès qu’elle entend un commentaire négatif va bloquer dessus pendant 3 semaines. Je suis aussi le genre de fille qui va se sentir nulle quand un supérieur va pouvoir dire ‘attention, ton travail n’était pas tip top, tu peux mieux faire’. Je pourrais simplement retenir le ‘tu peux mieux faire’, pour JUSTEMENT mieux faire. Mais non, je vais rester focalisée sur le ‘ton travail n’était pas tip top’. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres !
Je suis enfin le genre de fille à beaucoup réfléchir, trop réfléchir d’ailleurs. Pourquoi un tel pense ça de moi ? Et que va t’il penser si je dis ça ? Et cette phrase, c’était pour rire ou il y a avait une part de vérité ? M’aime t’il vraiment ou pas ? Bref, vous le voyez bien, je me pose trop de questions, ce qui m’empêche de vivre l’instant présent, d’apprécier naturellement la vie, les échanges avec les gens. À tel point que devant un public, je perds mes mots, je bredouille et je rougis telle une tomate farcie. Super glam.
Ces derniers mois, je me suis vraiment rendue compte que mon manque de confiance pouvait me faire échouer là ou je pouvais réussir. J’ai compris que tout ou presque était possible lorsqu’on le voulait vraiment. Alors avec une série de petites choses, de petites astuces, des bouquins sur le sujet, des articles de psychologues, j’ai doucement tenté de prendre confiance en moi.
Et pourtant tout cela, c’est bien loin de l’image que je vous renvoie sur le blog, mes photos ou les différents réseaux sociaux… Tout simplement car j’apprend petit à petit à surmonter ce manque de confiance. Mais surtout, j’apprend à être heureuse ! Croyez moi que ce n’a pas été tout de suite facile de parler toute seule à mon téléphone sur Snapchat ahaha ! Idem pour les séance de shooting dans la rue pour les photos de looks ! Et encore, faire des photos, là aussi c’est un autre souci, et je vous réserve un article sur comment s’accepter physiquement très bientôt, car là aussi il y a du travail.
Je vais tenter, modestement, de vous donner mes astuces pour reprendre confiance en vous, sachant que c’est quand même un long chemin à parcourir, et que je suis loin, très loin de m’assumer pleinement et d’avoir confiance en moi! Mais au moins, j’ai toujours ces quelques concepts clés sous la main, auxquels je repense dès que j’ai un coup de mou.
Savoir identifier la cause de son manque de confiance en soi, faire la liste de ses défauts qui nous handicapent.
C’est pour moi ce qui a de plus important. Car lorsqu’on déprime, qu’on est stressé ou qu’on a tout simplement pas confiance en soi, on a beaucoup de mal à exprimer clairement les raisons de ce mal-être.
- Faites la liste de vos défauts, de ce qui vous dérange. Définissez quel type de situation vous met dans une position inconfortable. Identifiez les raisons de ces problèmes (honte physique ? défaut dans votre personnalité ? Mauvaise expérience passée ou de l’enfance qui vous bloque ? etc…)
- Si il le faut, prenez un morceau de papier et écrivez, à l’instinct, TOUT ce qui vous dérange chez vous. Tout tout tout ! (Oui oui, les premiers sont faciles, et après il faut un peu se creuser la tête même si normalement ça devrait venir assez vite). Plus vous aurez conscience des problèmes qui vous handicapent au quotidien, plus il sera facile de les gommer un par un !
- Posez vous une question simple: À quel niveau ces différents défauts / problèmes influent-ils sur ma vie ? Sont-ils de « vrais » problèmes à régler, ou sont ils uniquement dans ma tête ? À quoi ressemblerait ma vie aujourd’hui sans tel ou tel défaut ? Et si j’avais complètement confiance en moi ?
À ce stade, vous avez déjà mis le doigt sur la grande majorité du problème.
Si votre voiture tombe en panne, vous savez qu’il y a un problème. Vous pouvez rester plantée là à pleurer dans le froid, ou alors ouvrir le capot, identifier la pièce défectueuse, et repartir de plus belle !
Faire la liste de ses principales qualités
Ça peut paraître un peu (voir très) ridicule de faire ça, mais c’est aussi super important de savoir se revaloriser. Alors apprenez à identifier vos points forts, ce qui fait que les gens vous aiment bien, ce qui vous rend différente des autres.
Attention, c’est un exercice très difficile ! Vous trouverez facilement 5-6 qualités importantes, mais bon courage pour les 15-20 autres suivantes !
Une fois que ce travail est fait, cette liste sera votre socle, les fondations de votre confiance en vous. Ces 20 ou 30 mots vous définissent, ce sont vos points forts, dont vous pouvez user et abuser. C’est ce qui vous rend cool, belle, attirante, et j’en passe.
Faire le tri dans les compliments et les méchancetés
C’est sûrement ce qui a dû être le plus difficile pour moi. J’ai toujours été très sensible, et j’ai énormément de mal à encaisser des choses négatives. Pourtant, c’est hyper important d’être capable de faire le tri !
Je ne vous raconte pas, lorsque j’ai commencé à avoir un certain nombre de followers sur Instagram, il m’est arrivé de m’enflammer comme une dingue sur 2 ou 3 nanas rageuses qui venaient m’insulter gratuitement… Le pire, en dehors du fait que c’était absolument ridicule de répondre, c’est que j’étais hyper blessée pour de vrai !
C’est également quelque chose sur lequel j’ai du énormément travailler par rapport à mon travail de Directrice Artistique. Lorsqu’on passe 1, 2 ou 3 jours sur un énorme projet, qu’on crée une planche de logo, un packaging, un site internet, des tonnes de déclinaisons, un magazine, des affiches etc… et que votre supérieur arrive émet des critiques, on a jute envie de le buter sur place, tout en allant se cacher, faire une dépression nerveuse, et pleurer pendant 2 ou 3 semaines à se demander si on est vraiment fait pour ce métier (bon ok, j’exagère un peu !)
Alors qu’en fait, il cherchait juste à vous éviter quelques erreurs, et à vous aider à améliorer votre travail !
- En général, je pense à la chose suivante : Une critique d’un proche vaut autant qu’un encouragement d’un inconnu. En effet, il est très facile de critiquer un inconnu totalement gratuitement, alors qu’il est plus difficile de lui faire un compliment constructif. À l’inverse, il nous coûte beaucoup de faire une critique négative à quelqu’un qu’on aime bien, de peur de le blesser.
Du coup, si une personne que vous connaissez bien vous fait une critique négative, écoutez-là. Elle a sûrement dû faire un effort pour réussir à vous l’annoncer, alors elle a forcément une grosse part de vérité.
À l’inverse, les critiques négatives gratuites et inutiles de parfaits inconnus, surfez dessus! C’est la vague sur laquelle vous allez poser votre planche pour rider telle une déesse 🙂
Idem pour les encouragements et les compliments d’inconnus. Je suis bien placée pour le savoir, ça a littéralement été mon CARBURANT pour avancer en tant que « blogueuse ». Tous ces commentaires mignons sous mes articles longuement écrits, ces petits mots doux sous mes photos Instagram sont réellement ce qui me fait avancer jour après jour, alors vraiment un immense MERCI !
Ces encouragements, buvez-les tel Dracula de retour à la maison après une semaine chez sa cousine Vegan qui préconise le sang de soja (Oui, toujours assumer vos blagues, surtout les pourraves, on a dit, ayez confiance en vous !)
Savoir apprendre de ses erreurs
Il est facile de baisser les bras. Mais les erreurs sont ce qu’il y a de plus précieux dans la vie. Chaque échec, même douleureux, permet de mieux se relever. C’est cette succession de millions d’échecs, parfois minimes, parfois graves, qui façonnent qui vous êtes.
C’est comme pour moi lorsque j’ai raté mon bac, ma vie s’est effondrée, et puis avec le recul ça a été une bonne expérience qui m’a permis de me retrouver dans un meilleur lycée, de rencontrer des personnes géniales qui sont toujours mes amis aujourd’hui, et d’avoir un an de plus pour être sûre de mon orientation post-bac. Ma vie serait peut être totalement différente aujourd’hui si j’avais eu ce bac du premier coup !
Cette séparation amoureuse permettra d’éviter certaines erreurs avec le prochain. Ce gros vent du beau gosse accoudé au bar vous fera changer de technique la fois suivante.
Sortir de ses habitudes
Le petit confort quotidien amène une illusion de stabilité qui s’effondre à la première contrariété. Mettez vous au sport. Donnez vous, transpirez, et ressortez fière de vous. Mangez mieux, perdez quelques kilos, et vous serez fière de vous. Vous prenez le bus tous les matins ? Allez-y à pieds ou en vélo. Juste une fois, pour essayer. La journée n’en sera que différente. Ça fait un bail que vous ne vous êtes pas faite un musée, un ciné, une virée shopping, une soirée clubbing toute seule ? Allez-y !
Vous n’avez pas vu une vielle copine depuis si longtemps que vous ne savez même plus si vous êtes encore copines ? Appelez la. Allez au resto. Renouez ces vieilles amitiés qui meurent à cause d’un quotidien fade !
Se jeter à l’eau !
Je pense que c’est, pour conclure, le point le plus important. On se met sans arrêt des freins pour tout, comme je vous l’ai dit plus tôt dans cet article. On passe son temps à anticiper les réactions et les pensées des autres, à se poser 15000 questions avant de bouger un orteil. On en deviendrait peureux de notre propre ombre !
Grosse astuce que j’utilise TOUT LE TEMPS : la récompense de 10 millions d’euros.
« Et si je gagnais 10 millions d’euros tout de suite en faisant cette action, est-ce que j’en serai capable ? »
Si la réponse est oui, alors on en est complètement capable, on ne se donne juste pas les moyens / le cran nécessaire !
Dans la vie, on a absolument rien à perdre ! Si vous en doutez encore, relisez le paragraphe « Savoir apprendre de ses erreurs » !
En soirée, le beau gosse à la mâchoire bien formé qui sirote son vert tout seul au bar, il est vraiment super canon, si je ne vais pas le voir je vais m’en vouloir pendant 50 ans, mais trop peur d’y aller… Pour 10 millions ? Bien-sûr que je vais lui parler ! Je vais même l’embrasser sur le champ si il faut !!! …Bon ok, qu’est ce que j’ai à perdre à lui parler ?? 🙂
Cette méthode s’applique à absolument tout ! C’est justement ce qui m’a donné le courage de commencer, il y a 1 an, mon compte Instagram, puis ce Blog !
J’ai eu envie de lancer ma marque éphémère de shorts customs lors de l’été 2013, je l’ai fait ! J’ai eu la possibilité de co-organiser des soirées en boite de nuit pendant 3 ans, je l’ai fait ! J’ai eu l’opportunité de laisser mère-chat-copain-potes-petite vie rangée en France pour m’envoler seule 6 mois au Mexique pour mes études, je l’ai fait !
Alors si vous ne devez retenir qu’une seule chose de ce (très) long article, c’est que la confiance en soi se construit sur des expériences. Et que pour vivre ces expériences, il faut FONCER!
C’est la première fois que j’écris autant, j’espère que cet article vous aura plus et surtout vous permettra de croire un peu plus en vous. Je vous souhaite une bonne semaine !
bisous d’amour,
C’est tout à fait le genre d’article que j’aurai pu écrire. Je crois que l’on a toutes ce problème mais les hommes aussi. Ça vient avec l’âge, les expériences, et la vie je pense.
Mais c’est clair qu’il faut foncer, tomber et se relever, c’est en faisant des erreurs que l’on apprend bien sur.
Bonne soirée
Ça a l’air pourtant si facile pour certaine personne… Allez, fonçons ! Belle soirée à toi et merci pour ta visite!
Un article totalement vrai dans lequel je me suis entièrement reconnue. J’ai 15 ans, je suis susceptible, très très sensible et je ne garde que les commentaires négatifs des gens pendant des semaines, en me les ressassant dans la tête « … Il y avait-il une part de vérité ? Juste une blague ? » Comme tu l’as si bien décrit. J’ai peur de ce que pensent les gens de moi, j’ai peur d’être confronté aux jugements. Ton article m’a beaucoup aidé. Continue, j’adore ce que tu fais, et merci pour ces précieux conseils, j’espère qu’avec le temps j’apprendrai à m’endurcir.
J’étais complètement comme toi à 15 ans, puis ça a persisté car je n’arrivais pas à mettre de mot sur ce problème, à en prendre conscience. Si déjà à 15ans, tu te rends compte de tout cela, tu réussiras sans doute à surpasser ces problèmes et à profiter de la vie ! Happy 2016 Margot ! des bisous
J’adore cette bouffée de pensées positives et de gros coup de boost. On en est toutes + ou – là et franchement, tes mots sont bien posés et super encourageants. De la vitamine C pour le moral. Merci.
Coucou écoute je me retrouve à quelques exceptions près dans ton portrait , surtout niveau cours où je suis exactement pareil ( cette année je suis également en terminale ES). Tu as raison cette satanée foutue confiance en soi nous empêche d’avancer correctement et nous met des barrières… J’ai hâte de voir ton prochain article sur le manque de confiance niveau physique car je suis en plein dedans … Merci pour tes articles aussi intéressants que les autres. Bisous bonne continuation:)
Hello Coraline, merci pour ton commentaire. Comme tu peux le voir, nous sommes plusieurs ici à avoir le même souci, et le plus gros est fait : nous sommes consciente d’avoir un sacré manque de confiance qui nous empêche d’avancer, alors maintenant zou : on profite ! Meilleurs voeux pour 2016 ! Des bisous
Coucou ma belle !
Je me reconnais un peu dans ta peur constante de l’échec.
Je n’ai jamais eu confiance en moi à tous les niveaux et ce pour différentes raisons : depuis l’âge de ; ans je ne me trouve pas jolie, en primaire de gros complexes par rapport à d’autres filles de ma classe. Idem au collège.
Avec les années j’ai beaucoup grossi, au point que le 23/11 de cette année j’ai subi une opération (cf mon IG). Voilà nivau physique.
Après niveau psychologique, grandir avec un père pervers narcissique ne m’a pas aidée… Si bien que je déteste les compliments, pour moi un compliment à mon égard est forcément un mensonge….
Ya qu’au travail que j’ai confiance en moi, car j’ai la chance d’avoir un patron en Or, toujours là pour moi n’importe quand et qui me fait une confiance aveugle, et donc je bosse dur et il trouve mon travail parfait.
Voilà en gros ….
Gros bisous ma jolie ❤️
Je me reconnais tellement à travers ton histoire. Je connais ce sentiment d’échec du redoublement et ce sentiment qui devient encore pire lorsqu’on se rend vraiment compte qu’on a redoubler non pas parce que l’on en été pas capable mais simplement par autosabotage .. Par manque de confiance en soi. Ce sentiment de se freiner soi même parce qu’on réfléchi trop, on se pose mille questions qui nous gâchent la vie pour rien. Après pas mal de désastres personnels et des années à passer à côté de pleins de chance j’en suis arriver à la même conclusion : FONCER et arrêter de réfléchir !!
Merci pour de t’être livrer autant dans cet article. J’ai hâte de livre le prochain sur la confiance en soi physique (parce que là aussi de mon côté il y a un sacré boulot à faire)
Bonne soirée 🙂
Le sabotage, tu as trouvé le bon mot ! Effectivement quand on manque de confiance on se sabote et on se gache la vie ! Tu as bien raison : foncer, profiter de la vie ! Il n’y a rien de mieux d’ailleurs. Merci d’avoir pris le temps de lire cet article, et c’est grace à ce genre de commentaire comme le tien que je prends confiance et que j’écris ! Merci, belle journée !
Comme ça fait du bien de lire ça ! A nous les 10, 20, 50…100 millions d’euros virtuels ! Continue à écrire et à vendre du rêve avec des photos et snap’ ! <3
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